leoscomorovschi

Léo Scomorovschi reçoit un boîtier reflex en cadeau d'anniversaire pour ses 15 ans. Faisant des rues de Paris son terrain de jeu, il s'initie rapidement à la prise de vue photographique et tire lui-même ses photos. Quelques années plus tard, il décide de faire de cette passion son activité professionnelle. Il intègre alors la section cinéma de l’Ecole nationale supérieure Louis Lumière. Il réalise plusieurs films institutionnels, notamment, pour Caterpillar et la Fondation de Coubertin durant ses études.

Dès sa sortie de l'ENSLL (promotion 1998), il intègre l’équipe de Léo Productions qui produit le magazine culturel Voilà Paris diffusé sur TV5. Il y travaille pendant un an comme caméraman de reportage et réalise ses premiers sujets pour la télévision. En 2000, il est lauréat d’un concours organisé par par la Fondation Vivendi pour la conception et la réalisation une publicité pour le 7 de Cegetel.

Son goût pour les rencontres humaines, les voyages et l’écologie l’oriente naturellement vers le documentaire et le grand reportage. En 2002, il réalise son premier documentaire sur une ethnie de nomades en Birmanie. Ce film de 78 minutes, autoproduit par 109 Films, séduit la chaîne Escales du groupe AB Sat qui l’achète. Il réalise ensuite une dizaine de documentaires (52 et 26 minutes) pour différentes chaînes télévisées.

Collaborateur régulier pour l’émission Télématin comme chef opérateur/JRI depuis 2004, il se voit également confier les prises de vues pour différents programmes de prime time du service public : Vu du Ciel, Thalassa, Faut pas Rêver, Des Racines et des Ailes, Le Grand Tour, Secrets d’Histoire.

Il coopère parallèlement à la réalisation de documentaires, publicités et films institutionnels (NHK, Toshiba, Shiseido) avec une production franco-japonaise.

Sa curiosité pour l’évolution technique de l’image ainsi que son goût pour les défis physiques et humains l’amène à participer régulièrement à de nouveaux projets tels que l'expédition The Explorers Network.